

Le Salon du CCAA 2026 aura lieu du 13 janvier au 1er février 2026 à la Maison des Arts, 20 rue Velpeau – Antony.
Les dates à retenir
Inscriptions : avant le mercredi 12 novembre 2025
Dépôt des œuvres : mardi 6 janvier 2026 de 13h00 à 17h30 à la Maison des Arts
Vernissage : mardi 13 janvier 2026 à 19h00
Retrait des œuvres : dimanche 1er février de 17h à 19h
S’INSCRIRE ET PAYER EN LIGNE (cliquer sur le lien)
REGLEMENT DU SALON :

Charlotte Herben expose avec Agnes Maîtrejean à la Galerie du Génie de la Bastille du 7 au 12 octobre.
Charlotte Herben vous accueillera sur place tous les jours.
Vernissage le jeudi 9 octobre de 17h à 21h

Cet automne, Guita, Fred Libert et Pascal Roiné, artistes antoniens exposent leurs œuvres dans la salle des mariages de l’Hôtel de Ville d’Antony.
La salle est ouverte à toutes et tous du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h, du 1er octobre au 18 décembre 2025.

L’exposition se tiendra au CSCB des Blagis 2 Rue du Docteur Roux, 92330 Sceaux
du 19 septembre au 17 octobre 2025.


LE SAMEDI 4 OCTOBRE 2025
Cette année, nous vous proposons de passer la journée dans les Fabuloseries ( Loiret, Yonne ), manoirs, parcs remplis d’imagination…..





Prix de peinture de la Ville : Freia SICRE – Pivoines
Prix de sculpture de la Ville : Marie-Christine ROTH – Tête de femme
Prix de peinture sur papier CCAA : Viktoriia SVIATIUK – Jardin exotique
Prix de peinture sur toile CCAA : Marie-Laure CABON – La femme au chapeau bleu
Prix de sculpture CCAA : Mario DI NINO – Câlins et chuchotements


Bois-pierre, pierre-bois, deux matériaux opposés : l’un végétal, l’autre minéral ; l’un doux et
chaleureux, l’autre froid et rugueux ; l’un où la veine de la vie pulse, l’autre inerte, morte.
Pourtant, dans mes sculptures l’un fait partie de l’autre.
Dans ce dialogue de deux univers opposés, on se croise, on s’entremêle, on se provoque, on se dévore, on se déchire mais on joue aussi, on danse, on chante, on se respecte, on coexiste. Et c’est souvent la relativité des forces qui ressort dans ces relations passionnées, complexes.
Quelquefois, c’est ce mystérieux fossile aux vertus régulatrices d’énergie qu’est l’ambre qui sait calmer les tensions et les conflits propres aux relations bois-pierre. C’est une confrontation, éternelle course entre la vie et la mort où il n’y a pas de vainqueur.
Ainsi, le rapport de forces se trouve neutralisé, permettant ainsi à ces deux matériaux antithétiques de ne former qu’un : le boispierre.


Jean-Pierre Monnot vit et travaille en région parisienne. Passionné de peinture très jeune puis, plus tard, architecte de métier, son œuvre interpelle le spectateur surpris par son univers composé de constructions gigantesques noyées dans le brouillard.
Ses paysages urbains distillent une ambiance particulière, un peu glacée, encore accentuée par l’utilisation des tons gris et bleutés.
Il travaille simultanément sur plusieurs toiles dont chacune prendra forme au terme d’une gestation de plusieurs mois.
Dans son œuvre, il rejette toute idée de souffrance et de pessimisme. il dit : « je m’inspire de l’intemporalité des choses, et notamment de la superposition des paysages qui pourraient se trouver au même endroit à différentes époques ».
Il se sent proche du courant Symboliste Romantique et d’artistes comme Roland Cat et Arnold Böcklin. Jean-Pierre Monnot revendique une poésie presque impersonnelle, fondée sur la rigueur du trait. Son art paraît désintéressé mais se caractérise par la dominance de la sensibilité et de l’imagination sur la raison. Il nous propose d’explorer l’invisible du monde.